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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 12:48

Présentation de "24"

par Jean-Michel LECOCQ, vendredi 23 mars 2012, 12:47 · 

Eté 1572. Depuis bientôt un an, le 24 de chaque mois, le cadavre d'un homme est retrouvé dans une église de Paris. Onze sont déjà tombés sous les coups d'un mystérieux tueur en série. Tous sont musiciens et appartiennent à l'académie de musique et de danse créée par le roi. A l'exception d'une seule, les victimes portent toutes, gravé au creux de la main droite, un étrange symbole. La rivalité qui oppose la police de la prévôté à celle du diocèse porte préjudice à une enquête qui piétine. Les affrontements religieux font peser sur le royaume une menace de guerre civile. Ces meurtres exacerbent les tensions. Les rumeurs vont bon train. Quand certains accusent la Cour des miracles, d'autres mettent en cause les Réformés, d'autres encore les Catholiques ultras. L'impatience du pouvoir royal est à son comble. Catherine de Médicis, qui ne croit en aucune de ces rumeurs et qui pense que la solution est à trouver dans le milieu de la musique, fait venir de Florence son filleul Vincenzo, un jeune musicien talentueux, pour qu'il mène une enquête discrète. Le Florentin parviendra-t-il à surmonter tous les obstacles placés devant lui et à démasquer celui que, désormais, tout Paris surnomme le Scarificateur ?

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 14:16

24, mon polar historique qui sortMaquette-de-24.jpg ce mois-ci pourra être commandé en ligne sur le site des éditions L'HARMATTAN, à partir du 24 mars ( www.harmattan.fr ). Il sera disponible en ligne sur les autres sites marchands à compter du 30 mars. Cependant, les libraires peuvent le commander dès à présent auprès de L'Harmattan.

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20 mars 2012 2 20 /03 /mars /2012 12:41

Coup de coeur : La femme du Ve, de Douglas KENNEDY...

par Jean-Michel LECOCQ, mardi 20 mars 2012, 12:38 · 

"La femme du Ve" est le premier roman de Douglas Kennedy que je lis. Je plaide coupable, pour reprendre la dernière phrase du livre. Cette lecture m'a laissé une impression mitigée. Rédigé à la première personne, il retrace la descente aux enfers d'un professeur d'université de l'Ohio qui a eu une aventure avec une de ses étudiantes et contre lequel la société puritaine américaine a enclanché sa mécanique ostraciste, l'obligeant à quitter le pays et à se réfugier à Paris, avec tout juste de quoi survivre pendant quelques semaines. Le héros est pris dans un engrenage infernal, obligé, pour survivre, de passer sous les fourches caudines de personnages sinistres, baignant dans un univers interlope. Il est menacé de tous côtés, y compris de mort, lorsqu'il fait la connaissance d'une femme avec laquelle il engage une aventure amoureuse. Dès lors, se succèdent autour de lui des phénomènes curieux, sa vie change et il devient la proie de cette femme qui exerce sur lui un étrange chantage. D'entrée de jeu, j'ai été déçu par le style de kennedy et j'ai trouvé ses propos d'une banalité affligeante, balançant entre l'étalage d'une culture cinématographique fatiguante et une flopée de considérations psycho-sociologiques de café du commerce. Malgré cela, je me suis laissé prendre par son histoire, étrangement captivante. Je voulais savoir ce qui allait arriver à cet homme totalement livré à un destin qui le dépassait et à une suite de péripéties qui suscitaient mon intérêt. Et puis, soudain, un coup de théâtre et l'irruption du fantastique, aux deux tiers du roman. La suite est à découvrir. J'ai quand-même accroché à ce livre même si j'ai trouvé qu'il péchait par certains de ses aspects ( Style, fond ) et même si le dénouement est relativement décevant.

La femme du Ve, de Douglas KENNEDY, Belfond, 2007, 378 pages.

 

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    19 mars 2012 1 19 /03 /mars /2012 14:18

    Ecriture et inspiration...

    par Jean-Michel LECOCQ, lundi 19 mars 2012, 14:17 · 
    Vos changements ont été enregistrés.

    A moins que de donner dans le "prêt-à-porter", aucun roman ne répond à la même logique d'élaboration. Je n'en veux pour exemples que les cinq romans que j'ai achevés à ce jour et dont trois ont été publiés pour le moment. "Le secret des Toscans", mon premier ouvrage, est né d'une idée qui me trottait dans la tête depuis plusieurs années. J'avais envie de reprendre à mon compte la technique employée par Georges Pérec dans "La vie, mode d'emploi", à savoir la méthode du puzzle. Une série de récits, à première vue sans rapport les uns avec les autres, finissent par établir entre eux des liens, par s'entrecroiser et s'interpénétrer pour donner naissance à une seule intrigue qui, à la manière dont fonctionne un pochoir, donne progressivement à l'histoire une signification de plus en plus complexe et lisible. Chaque chapitre, en développant alternativement un nouvel aspect de chaque récit, donne chaque fois un peu plus d'épaisseur à l'intrigue, apparaît comme une nouvelle pièce à mettre en relation avec les autres pour consolider la cohérence de l'ensemble. C'est la raison pour laquelle les premiers chapitres du roman sont si déroutants et ce pourquoi il faut les enchaîner sans s'arrêter si le lecteur veut pouvoir, à partir de la cinquantième page, commencer à entrevoir où je veux le conduire. S'agissant du "Christ jaune", le parti pris est totalement différent. C'est en visitant l'exposition consacrée à Chirico au musée d' Art moderne de la ville de Paris que j'ai imaginé un polar dont le principe reposerait sur une énigme tout entière contenue dans l'oeuvre d'un peintre, en l'occurrence Giorgio de Chirico. Une sorte de rébus caché dans ses oeuvres dont un meurtrier se serait servi pour livrer les clefs de son parcours criminel. Au lieu de cela, c'est vers l'idée d'un trésor de guerre constitué de toiles de maîtres disparues que je me suis orienté. Pourquoi ? Je n'en ai plus qu'une vague idée. Sans doute parce que j'ai craint de me lancer dans un polar trop initiatique, dans l'univers clos de l'oeuvre d'un seul peintre, et sans doute parce qu'entre temps, une excursion au musée de l'Annonciade à St-Tropez m'a rendu plus inspiré. A moins que n'y ait également contribué une visite au musée Chagall de Nice où était proposée une exposition didactique sur la restauration des oeuvres peintes. Une vengeance savamment orchestrée sur fond de recherche de toiles maquillées apparaissait comme la trame narrative idéale dont j'avais besoin. Pour "24", il en est allé bien différemment. Alors que mon inspiration marquait une pause, ma femme, historienne, m'a soufflé l'idée d'un tueur en série contemporain de la Saint-Barthélemy. Son mobile - que je ne peux révéler sous peine de tuer l'intérêt du suspense - fut facile à trouver : une enquête policière sur fond de métaphore musicale et de guerres de religion. Il n'en fallait pas davantage pour me convaincre. Il suffisait ensuite de trouver une mise en scène. Un meurtre dans une église de Paris le 24 de chaque mois ( le nombre 24 est capital ), la Saint-Barthélemy comme point d'orgue et le tour était joué. La suite consistait à construire le récit de façon chronologique, à partir d'une trame sommaire et d'un plan de Paris au XVIe siècle, au prix d'une bonne documentation et d'ajustements réguliers. Mon quatrième roman, à paraître en novembre si tout va bien, a connu un point de départ très particulier. J'avais en tête une scène très précise dont je ne voyais pas à quel type de récit elle pourrait bien s'intégrer mais qui, à mes yeux, représentait le premier chapitre idéal et très dynamique d'un bon polar. Après quelques semaines d'hésitations, de cogitations et d'essais successifs, j'ai décidé d'écrire cette scène et me suis mis au défi de construire la suite à partir d'elle. A ma grande surprise, tout s'est enchaîné très vite et le roman a été rédigé en très peu de temps. Le manuscrit se trouve actuellement entre les mains du jury du Prix du Quai des Orfèvres qui devrait trancher avant l'automne prochain. L'idée du cinquième, intitulé "Rejoins la meute !" m'est venue au cours d'un séjour que nous avons effectué dans les Cévennes. Alors que je roulais sur une petite route, j'ai aperçu, sur le tablier d'un pont, l'inscription "Rejoins l'émeute", invitation probable à je ne sais quelle manifestation d'une coordination paysanne. Mon cerveau a traduit par "Rejoins la meute !" et j'ai imaginé une équipe d'enquêteurs travaillant sur une série de massacres perpétrés dans les Cévennes. Mon attrait pour l'Ecosse et ses traditions médiévales a fait le reste. Le Moyen-âge s'invitait au XXe siècle. Il restait à trouver une trame que j'ai imaginée à mesure que je rédigeais. Mon sixième opus, en cours d'écriture, obéit à une autre logique, tout aussi particulière. Je pars d'une scène écrite à la première personne où un homme rencontre une jeune femme qu'il séduit. Le lendemain, la jeune femme est retrouvée étranglée dans sa chambre d'hôtel. Est-ce lui qui l'a assassinée ? Mon travail d'écriture va consister, jour après jour, à conduire l'enquête, sans trame préalable. L'inspiration est la folle du logis qui, partant d'un éclair qui vous traverse l'esprit, d'une idée lentement maturée ou encore d'un élément prélevé de façon aléatoire dans l'environnement du moment, vous entraîne dans un cheminement souvent incertain vers la construction patiente d'une cohérence et d'une signification, à l'image des vrais faiseurs de puzzles qui oeuvrent à la recherche d'un canevas dont ils ne possèdent pas le modèle. J'en déduis une règle qui n'est que ma propre vérité : l'inspiration ne préexiste pas à la création, elle se construit au fil de celle-ci et s'en nourrit.

    Le Christ jaune

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    17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 13:08

    Pour patienter, en attendant la parution qui ne saurait tarder.

     

    Coin de voile : un extrait de "24"...

    par Jean-Michel LECOCQ, samedi 17 mars 2012, 13:07 · 

    Paris, le mardi 24 mai 1572, 11 heures, le soir

    Masson Delforti exerçait la charge d' écrivain. Il tenait boutique dans la rue de Bièvre, juste en face du collège de Chanac, et tirait l'essentiel de ses revenus de la rédaction de courriers divers et autres actes sous seing privé, que lui commandaient une clientèle analphabète mais aussi certains lettrés, soucieux de la conformité légale de leur correspondance. Comme l'exigeaient les statuts de sa corporation, il maîtrisait également l'art du calcul auquel il recourait pour le compte de riches marchands ou de familles aisées. Dans la journée, quand il ne maniait pas la plume au fond de son échoppe, il lui arrivait de se déplacer dans Paris, muni de son abaque et de sa collection de jetons, pour se rendre chez quelque client désireux d'établir l'inventaire de ses biens. Le soir venu, quatre fois par semaine, il revêtait sa tenue grenat, plaçait son mousquet en bandoulière et se coiffait du tricorne réglementaire, pour aller assurer sa mission de chef de la milice bourgeoise de son quartier. A peine le bourdon de Notre-Dame avait-il sonné le dernier coup que Masson et son escouade entamaient leur ronde selon un itinéraire immuable, qui les amenait à parcourir le sud de Paris, de la Grand rue Saint-Jacques à l'abbaye Saint-Victor et des rives de la Seine à la porte Sainte-Geneviève.

    ...............................

    Cette nuit-là, un autre évènement allait marquer la ronde. Ils venaient de franchir le carrefour des rues Saint-Séverin et du Petit-Pont lorsque des appels au secours se firent entendre, très vite suivis d'un hurlement à fendre l'âme. Une voix d'homme, d'abord, appelant à l'aide, puis quelque chose qui s'apparentait au cri d'une bête qu'on égorge. Ensuite, plus rien. L'escouade avait stoppé net sa progression. Masson s'était retourné et, du doigt, montrait Saint-Séverin dont la masse sombre ne laissait échapper aucune lumière. Il était certain que les cris venaient de l'intérieur de l'édifice. Aucun doute n'était possible. Il fallait y pénétrer et comprendre ce qui s'y passait. La milice disposait d'un trousseau de clefs lui permettant d'entrer dans toutes les églises de son quartier. Masson le gardait solidement fixé à sa ceinture. Quinze clefs qu'il connaissait une à une, qu'il était capable d'identifier rien qu'au toucher tant il les avait manipulées depuis dix ans qu'il dirigeait sa milice. Un véritable arsenal de serrurier ou de voleur, c'était selon. Le temps de courir jusqu'au porche, de tourner l'énorme clef dans la serrure et d'entendre le bruit familier de la ferrure et la porte s'était ouverte, poussée par Masson qui précéda ses hommes dans la noirceur de la nef.

    ..............................

     

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    17 mars 2012 6 17 /03 /mars /2012 08:00

    Coup de coeur : le jeu du pendu de Aline KINER...

    par Jean-Michel LECOCQ, samedi 17 mars 2012, 07:57 · 

    C'est à une très agréable découverte que je vous convie, avec Le jeu du pendu, de Aline KINER. L'intrigue a pour cadre un petit village de Lorraine qui, d'une part, a vécu la tutelle allemande avec sa cohorte de réglements de comptes et de rancoeurs non assouvies et qui, d'autre part, porte encore les stigmates de son passé minier. C'est au coeur de cette mémoire tourmentée que l'on retrouve, en 2004, les corps de trois jeunes filles assassinées et abandonnées, au milieu des bois, dans les crevasses formées par l'effondrement des anciennes galeries de mines. L'équipe du commissaire Kowalski enquête avec, en son sein, Jeanne, la fille du pays qui porte une partie de son Histoire et Simon, le flic parisien muté pour raisons disciplinaires. Les policiers vont se heurter au poids du passé, aux haines non apaisées et à la mentalité retorse des habitants du village. Au-delà de l'intrigue policière au demeurant passionnante, le lecteur découvre une galerie de personnages bien campés et une brillante restitution de l'atmosphère de ce pays lorrain qui, par certains côtés, fait étrangement songer au pays ardennais. Tout en suivant le cours d'un suspense bien entretenu, on goûte une ambiance, on s'attache à des personnages. Une lecture bien agréable que je recommande à tous les amateurs de bons polars.... En prime, les Ardennais y retrouveront une ambiance et des détails qui leur seront familiers.

    Le jeu du pendu, de Aline KINER, Ed. Liana Lévi, 2011, 230 pages.

     
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      15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 21:25

      Coup de coeur : Un peu plus loin sur la droite...

      par Jean-Michel LECOCQ, jeudi 15 mars 2012, 21:24 · 

      En planque sous les fenêtres de l'appartement du neveu d'un député, place de la Contrescarpe, Kehlweiler avise soudain une drôle de chose sur la grille d'un arbre. un petit déchet blanchâtre au milieu d'excréments canins. Pas de doute, c'est un os. Et même un os humain...Naturellement, lorsque Kehlweiler apporte sa trouvaille au commissariat du 5ème arrondissement, les flics lui rient au nez. Mais ce petit bout d'os l'obsède tellement qu'il abandonne ses filatures parisiennes et suit une piste jusqu'à Port-Nicolas, un village perdu au bout de la Bretagne. Là, vit un pit-bull. Une sale bête qui avalerait n'importe quoi. Y compris un bout de cadavre. Reste à trouver le cadavre. Et l'assassin.

      Voilà Kehlweiler embarqué dans une enquête totalement folle, dans laquelle la famille Vandoosler va, une fois encore, jouer un rôle déterminant pour l'aider à reconstituer patiemment l'histoire de cet os, jusque dans un petit village où le passé du commissaire va resurgir sous les traits d'un politicard local d'extrême droite. Fred Vargas nous gratifie encore d'une galerie de personnages hors normes qui se croisent et s'entrecroisent jusqu'au dénouement aussi inattendu que dans ses autres polars. A consommer sans modération...

       

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        15 mars 2012 4 15 /03 /mars /2012 07:51

        24

        24 n'a jamais été aussi près de sa date de parution. Dès 1571, un tueur en série décime les rangs de l'académie de musique et de danse créée par le roi. Les victimes sont retrouvées, le 24 de chaque mois, dans une église de Paris. A l'exception d'une seule, elles portent toutes, gravé au creux de la main droite, un étrange symbole. La guerre des polices qui sévit entre la prévôté et le diocèse nuit à l'enquête qui piétine. Les pires rumeurs courent dans la capitale. La reine s'en émeut et fait appel à Vincenzo, son filleul, un jeune musicien florentin, pour tenter de résoudre cette énigme. La Saint-Barthélemy approche. Le tueur en série est sur le point d'être démasqué. Vincenzo parviendra-t-il à déjouer les pièges qui jalonnent son chemin pour mettre un terme aux agissements de celui qu'on surnomme le Scarificateur ? Une plongée dans le Paris de la fin du XVIe siècle, au coeur des guerres de religions. Frissons et suspense garantis.

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        13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 16:40

        maquette-de-24.jpgGrâce à la maquette ci-jointe, vous pourrez voir à quoi ressembleront la première et la quatrième de couverture de mon prochain roman, un thriller intitulé 24. Il devrait sortir de chez l'imprimeur vers le 19 mars et être commercialisé dans la semaine qui suit....

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        11 mars 2012 7 11 /03 /mars /2012 10:00

        La plupart de mes personnages sortent de mon imagination. Ce n'est pourtant pas le cas de Claire O qui existe réellement et dont le talent est à la hauteur de ce que j'en dis dans mon deuxième roman "Le Christ jaune". François Lemel, le galeriste tropézien, se rend  dans son atelier pour faire l'acquisition d'une toile. C'est à Tourtour où elle installe son atelier pour la belle saison que j'ai découvert cette artiste de grand talent, coloriste hors pairs, dont les toiles illuminent de lumière le regard de ceux qui aiment les mélanges hardis de couleurs, les contrastes de tons et une peinture qui se situe à la limite entre figuratif et abstrait. Elle vend ses oeuvres dans le monde entier. Si vous faites un tour dans le Var, aux beaux jours, entre mai et septembre, faites un crochet dans son atelier, situé sur la place centrale de Tourtour, où elle expose. En guise de mise en bouche, j'illustre cet article avec l'une de ses productions : Nature aux coings. Il est bien possible qu'un jour, j'évoque, dans l'un de mes prochains romans, un autre peintre dont j'admire le talent : Frédéric LEFOL....s'il n'y voit pas d'inconvénient bien sûr !Nature-morte-aux-coings--de-Claire-O--3-.jpg

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